Aujourd'hui: IL FAUT PO-SI-TI-VER
Chers
Amis-ies-is-ies,
Alors qu’il
déprime depuis bientôt un mois et demi l’ensemble d’un parti honorable (et ses
quelques électeurs) avec sa chronique sinistre, multipliant noirceur,
pessimisme et culpabilisation facile du
citoyen, le Professeur Ponchau est ce matin en mesure de délivrer un message
positif. Purée, enfin !
On avait
déjà perdu 7 ou 8% dans certaines
communes dont trop d’habitants lisent les chroniques malsaines dudit Professeur
ce qui, fait unique dans l’histoire politique du pays, aurait pu amener notre
parti dans ces communes à un score négatif.
Mais fort
heureusement, ce matin, le Professeur
s’est repris et il peut enfin claironner une information positive et soigner le
moral des électeurs de progrès et de solidarité qui sont les nôtres et leur
conférer cet air béat qui donnera l’envie à leurs voisins de table de faire la
même chose qu’eux le 14 octobre prochain : depuis hier, Mesdames et
Messieurs, le salaire de Didier Bellens ne représente plus qu’1/16ème
du prix de transfert d’Axel Witsel.
L’an
dernier à la même date, cette proportion était d’1/3 !
Soulignons de
plus en cette heure cruciale la lucidité de Marc Wilmots, qui est quand même un
chic type qui dit toujours ce qu’il pense (or, y-a-t-il un seul être humain en ce
bas monde qui puisse se targuer de ne pas penser une connerie de temps en temps ?). Marc Wilmots a
donc déclaré hier : « Connaissant le garçon –ndlr : on aura remarqué au passage cette façon unique du Bison
de Jodoigne de se créer un personnage à la John Wayne, comme lui salement de
droite, mais O combien attachant – je sais qu’il est suffisamment pro pour
se concentrer dès aujourd’hui sur le match au Pays de Galles ».
Fameux
hommage ! Tout le monde sait, en effet, qu’il est beaucoup plus difficile
de se concentrer quand on a trop d’argent que quand on n’en a pas assez. Quand
on n’en a pas, c’est facile, on peut se mobiliser sans problème dans la noble
quête d’essayer d’en avoir un rien plus. Mais quand on en a trop !
Vous
n’aviez jamais pensé à ça, n’est-il pas, Chers Amis-ies-is-ies?
Ne me
remerciez pas… dans le fond, faire réfléchir, c’est un peu ma vocation…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire