dimanche 23 février 2020

Reader on the storm

Quel plus beau jour que le dimanche pour annoncer la bonne nouvelle? 

Les tempêtes à répétition n'ont strictement rien à voir avec le réchauffement climatique.

Par osmose, elles ne soufflent d'ailleurs que le dimanche.

Au diable, dès lors, nos impressions mémorielles. Ce n'est pas comme pour la neige, où là, c'est sûr, il  y en a moins que quand on était petits, il n'y en a d'ailleurs plus du tout. Des tempêtes, il y en avait avant, parfois plus fréquentes, des plus fortes, les graphiques le disent. On ne va pas vilipender les scientifiques alors qu'on les invoque quand ça nous arrange, ceux du Giec en particulier.

Il y en avait avant... Enfer, ça rassure. 

Ces moments où on se calfeutre chez soi, parce qu'il n'y a rien d'autre à faire, où on s'étonne de ne pas s'envoler, où on se sent petit, petit, que fétu mon ami.

Où on s'étonne le matin, peu de dégâts, peu de victimes, c'est dingue, on se sentait si petits. 

Rien à voir avec le réchauffement climatique. 

Le climat, ça ne se maîtrise pas. Leçon de tempête. Torche-toi avec tes billets, Jeff. En dollars ou en besos...