La faiblesse de la chair fait une nouvelle victime
On savait le Professeur Ponchau très attaché à sa terre d'adoption, ce Brabant wallon à la vie politique duquel il participa de façon active ces dernières années. On le croyait emporté par la spirale délicieuse du succès, on lui prédisait une ascension ininterrompue et déjà, de nombreuses jeunes filles ébahies se retournaient sur lui dans la rue.
Et voilà que bardaf...c'est l'embardée!
Pris dans les filets d'une perverse wallonne picarde, il semble que le malheureux Professeur, presque sur un coup de tête (8 ans de réflexion, c'est assez peu, finalement), ait décidé de mettre les voiles et de déserter ce si florissant BW. Quel drame pour cette province!
Mais que le citoyen brabançon se rassure: son châtiment va être terrible. La Picardie wallonne (à moins que ce ne soit l'inverse) est une contrée sauvage, aculturée, désertique... c'est le Cayenne des politiques. Son écologisation constitue le Sisyphe de nombre de rénégats.
Adieu dès lors, Brabant wallon. Mais quel privilège que de pouvoir ainsi se créer tant de nostalgies futures...
Car parce que je pars, il y a de l'eau dans mon regard...
La Wallifornie va perdre son cerveau le plus vivace....
RépondreSupprimerQuel Dommage!!!
Bonne route en Picardie...
Bienvenue dans cette nouvelle terre d'écologisation alors, le ponch.
RépondreSupprimerMaudite soit cette succube picarde qui t'arrache à notre affection ! Nous érigerons un mémorial brabançon à ton effigie. Le mur de ton kot deviendra celui des lamentations, où nous irons pleurer ton départ jusqu'à la déshydratation. Va donc, en ces terres hostiles, et chasse les tyrans qui ont asservi la populasse. Fais des voix, et porte haut le vert flambeau de la victoire dans trois ans. Que les dieux t'accompagnent dans cette quête du bonheur.
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