lundi 13 août 2018

Les cons, ça ose tout...


Comment commenter la dernière pantalonnade médiatique du pygmée libéral montois sans nous approcher dangereusement du gouffre insondable du paradoxe?

Car on nous fera remarquer fort justement que cette phrase est totalement irrespectueuse de cette peuplade d'Afrique caractérisée par sa petite taille.

On ajoutera que pour Mons et les montois, la référence se révèle potentiellement très injurieuse.

Et même, même, malgré le respect très limité que suscitent encore en nous le mot et les gens en question, on pourrait s'attrister pour les membres de ce parti que "libéral" apparaisse en si mauvaise compagnie.

Mais qu'on nous pardonne: comment éviter l'excès de langage devant une proposition intellectuellement aussi liliputienne et malhonnête? Invoquer le respect des victimes du nazisme... c'est ça, le comble de la récupération et de la banalisation.

En attendant, le jour où il sera interdit de penser que les propos et les actes politiques de Théo Francken relèvent d'une idéologie d'extrême-droite et que son nationalisme est très largement teinté de xénophobie, et même de se laisser aller à croire que né à une autre époque, le Théo aurait utilisé d'autres méthodes pour faire avancer son projet nauséeux, ce jour-là... c'est qu'on sera revenu à cette autre époque. 

Jusque-là, on continuera à le traiter de nazi ou de SS quand on sera trop énervé pour le traiter de facho, de collabo ou de Matteo.

ET son pote montois de "roi des cons". 

Même si on peut regretter qu'aucune loi ne protège l'oeuvre du Grand. Georges.










  




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