"L'ennemi de la corrida est l'ami du beefsteak". Dans sa lutte effrénée contre l'effet de serre, le professeur Ponchau se targue d'avoir mis au point un petit appareil pour réduire la production de méthane chez les bovidés...
Je vous suggère d'adapter quelque peu ce petit appareil pour qu'il s'adapte au devant de l'aninal plutôt qu'à son fondement. En effet, contrairement à une idée commune dont vous contribuez à la propagation, ce ne sont pas les flatulences qui posent problème. Ce sont plutôt les rots et exhalations moins hilarants qui représentent 95 pour cent des émissions de méthane des ruminants. Vous avez raison néanmoins, quand on parle de gaz à effet de serre, le méthane est effectivement un facteur important. l'INRA développe d'ailleurs des programmes de recherche pour diminuer la production de méthane durant la fermentation entérique. N'oublions pas enfin que les prairies où paissent les bovins sont importantes dans le stockage du CO2. Mes hommages respectueux
Je vous remercie pour l'apport scientifique dont vous enrichissez mon humble blog. Je n'ignorais point que c'est avant tout sous forme de rots que les bovins rejettent le méthane ...mais c'était bien sûr moins frappant pour le spectateur. Mes chiffres diffèrent néanmoins un peu des vôtres (15% de flatulences pour 85% de rots).
Le but pour le très humble scientifique d'opérette que je suis demeure avant tout d'attirer l'attention sur les problèmes, sans nécessairement les présenter exhaustivement ou ultra scientifiquement, en jouant avant tout sur l'absurde (lequel s'accomode parfois mal de la rigueur des chiffres). Mais soyez sûr que, dans l'avenir, je ne manquerai pas de relayer votre pertinente remarque.
Avec mes hommages itou et mes remerciements pour votre intérêt.
Certains habitants de Rots st Genèse, ont l'habitude de péter plus haut que leur cul... C'est encore le cas de ce Môssieur Ron, grand donneur de leçons devant l'éternel. Comme à son habitude, Môssieur Ron, se trouve totalement désemparé lorsqu'il s'agit d'apporter une solution concrète à cette évacuation de méthane par voie buccale. Car à part mettre un scaphandre à tous les bovidés ( idée bof) ou réaliser une trachéotomie et insérer une canule équipée d'un filtre à charbon actif (idée beauf) , je ne vois pas comment résoudre le problème. En outre, la déviation de la voie normale de la communication pharyngolaryngée, ne résout pas le problème de la gestion des déchets. C'est comme pour les pots catalytiques Sauf à travailler en amont, c'est à dire dans l'estomac de l'animal. Ron, permets moi de t'appeler ainsi . Qu'est-ce que t'en panse ?
Bonjour Professeur, pouvez vous m'indiquer où on peut se procurer ce petit appareil ?
RépondreSupprimerCher Professeur,
RépondreSupprimerJe vous suggère d'adapter quelque peu ce petit appareil pour qu'il s'adapte au devant de l'aninal plutôt qu'à son fondement. En effet, contrairement à une idée commune dont vous contribuez à la propagation, ce ne sont pas les flatulences qui posent problème. Ce sont plutôt les rots et exhalations moins hilarants qui représentent 95 pour cent des émissions de méthane des ruminants. Vous avez raison néanmoins, quand on parle de gaz à effet de serre, le méthane est effectivement un facteur important. l'INRA développe d'ailleurs des programmes de recherche pour diminuer la production de méthane durant la fermentation entérique. N'oublions pas enfin que les prairies où paissent les bovins sont importantes dans le stockage du CO2. Mes hommages respectueux
Cher Monsieur Ron,
RépondreSupprimerJe vous remercie pour l'apport scientifique dont vous enrichissez mon humble blog.
Je n'ignorais point que c'est avant tout sous forme de rots que les bovins rejettent le méthane ...mais c'était bien sûr moins frappant pour le spectateur. Mes chiffres diffèrent néanmoins un peu des vôtres (15% de flatulences pour 85% de rots).
Le but pour le très humble scientifique d'opérette que je suis demeure avant tout d'attirer l'attention sur les problèmes, sans nécessairement les présenter exhaustivement ou ultra scientifiquement, en jouant avant tout sur l'absurde (lequel s'accomode parfois mal de la rigueur des chiffres). Mais soyez sûr que, dans l'avenir, je ne manquerai pas de relayer votre pertinente remarque.
Avec mes hommages itou et mes remerciements pour votre intérêt.
Certains habitants de Rots st Genèse, ont l'habitude de péter plus haut que leur cul...
RépondreSupprimerC'est encore le cas de ce Môssieur Ron, grand donneur de leçons devant l'éternel. Comme à son habitude, Môssieur Ron, se trouve totalement désemparé lorsqu'il s'agit d'apporter une solution concrète à cette évacuation de méthane par voie buccale.
Car à part mettre un scaphandre à tous les bovidés ( idée bof) ou réaliser une trachéotomie et insérer une canule équipée d'un filtre à charbon actif (idée beauf) , je ne vois pas comment résoudre le problème. En outre, la déviation de la voie normale de la communication pharyngolaryngée, ne résout pas le problème de la gestion des déchets. C'est comme pour les pots catalytiques
Sauf à travailler en amont, c'est à dire dans l'estomac de l'animal.
Ron, permets moi de t'appeler ainsi .
Qu'est-ce que t'en panse ?
petit conseil
RépondreSupprimereviter de manger du choux
choupete