1,5 sur 10 ! C'est la cote donnée par les associations du pacte écologique au MR. Dans ce clip, le professeur Ponchau vole au secours de son ami Didier, et prend la défense des libéraux: leur volonté de défendre la planète bleue est d'une sincérité grandissante.
Je ne fais certes pas partie des "ni-ni", mais il faut bien avouer que les obsédés de la problématique "si Ecolo cause avec les bleus, c'est qu'il n'est plus de gauche" ont une tendance certaine à m'agacer. Quand le parti d'Elio donne dans la violette, personne ne va lui dire qu'il est de droite, alors, pourquoi nous, nous devrions à longueur de temps nous excuser "vous savez, il est possible qu'on aille dans une coalition où il y aura Reynders, mais on est de gauche quand même"? Les convergences ont été le plus grand piège à cons jamais concocté en politique. Au moins, avec les libéraux, on n'aura pas ce problème.
Ceci étant, si Ecolo veut se retrouver aux manettes quelque part, il doit composer avec les autres partis. Personnellement, les eunuques idéologiques du CDH ne me plaisent pas plus que les bleus, les rouges nous cassent les pieds à se croire les uniques héritiers de Jaurès et les libéraux, leur score lors du grand oral du pacte écologique dit tout (même que ce cornichon de Ducarme a déclaré en radio que l'écologie avait éyé révélée par les libéraux, par l'intermédiaire d'Al Gore). Et ces trois partis ont en commun de faire de l'écologie comme des vaches espagnoles.
Bref, Cher Ami, je suis vert, vert, vert, et pragmatique en politique: si les avancées vertes passent par un pacte avec les bleus, ça ne me trouera pas plus les pieds qu'une alliance temporaire avec un des deux autres.
Et ce serait bien, ceci dit, que Jacques Bauduin fasse la même chose que pendant les négociations de saint-Boniface: dormir.
Ponchau, ca rime avec Javaux .
RépondreSupprimerMais ni l'un ni l'autre ne devraient rimer avec Didier.
A gauche toutes, camarades !
Cher Camarade,
RépondreSupprimerJe ne fais certes pas partie des "ni-ni", mais il faut bien avouer que les obsédés de la problématique "si Ecolo cause avec les bleus, c'est qu'il n'est plus de gauche" ont une tendance certaine à m'agacer. Quand le parti d'Elio donne dans la violette, personne ne va lui dire qu'il est de droite, alors, pourquoi nous, nous devrions à longueur de temps nous excuser "vous savez, il est possible qu'on aille dans une coalition où il y aura Reynders, mais on est de gauche quand même"? Les convergences ont été le plus grand piège à cons jamais concocté en politique. Au moins, avec les libéraux, on n'aura pas ce problème.
Ceci étant, si Ecolo veut se retrouver aux manettes quelque part, il doit composer avec les autres partis. Personnellement, les eunuques idéologiques du CDH ne me plaisent pas plus que les bleus, les rouges nous cassent les pieds à se croire les uniques héritiers de Jaurès et les libéraux, leur score lors du grand oral du pacte écologique dit tout (même que ce cornichon de Ducarme a déclaré en radio que l'écologie avait éyé révélée par les libéraux, par l'intermédiaire d'Al Gore). Et ces trois partis ont en commun de faire de l'écologie comme des vaches espagnoles.
Bref, Cher Ami, je suis vert, vert, vert, et pragmatique en politique: si les avancées vertes passent par un pacte avec les bleus, ça ne me trouera pas plus les pieds qu'une alliance temporaire avec un des deux autres.
Et ce serait bien, ceci dit, que Jacques Bauduin fasse la même chose que pendant les négociations de saint-Boniface: dormir.
Votre dévoué professeur Ponchau